Voici les principaux résultats de ce dispositif d'évaluation des conséquences de la crise sanitaire :
- quelles que soient les dimensions interrogées, les filles ont moins bien vécu le confinement que les garçons ;
- la peur du coronavirus a davantage touché les élèves les plus jeunes, les filles et les élèves scolarisés en éducation prioritaire ;
- le confinement a été jugé long, ennuyeux et a généré de la frustration par manque de relations sociales avec les amis ;
- les difficultés à travailler à domicile ont par ailleurs été davantage ressenties par les élèves du réseau d'éducation prioritaire ;
- en grande section et en CP, les supports traditionnels (cahier, crayon, papier) ont été privilégiés pour poursuivre la scolarité ;
- en CM2 et en 3e, sept élèves sur dix ont utilisé un ordinateur ou une tablette personnelle pour travailler à domicile ;
- les filles sont plus nombreuses à déclarer avoir travaillé plus de deux heures par jour que les garçons, que ce soit en CM2 ou en troisième ;
- elles sont aussi plus anxieuses face à l’avenir scolaire.
>> Consulter la note d'information n° 21.19 (avril 2021).
Source : DEPP