Parmi les mesures proposées, outre un changement de dénomination pour ces services qui pourraient devenir des services de santé étudiante (SSE), la mission préconise de recentrer leurs missions autour de quelques priorités, dont la santé mentale et vers des publics prioritaires au nombre desquels figurent les étudiants en situation de handicap et les étudiants en mobilité. Elle propose aussi d’assurer une implication plus systématique de l’ensemble de la communauté universitaire représentée dans les conseils centraux et d’inciter à la consolidation et le développement des partenariats territoriaux.
>> Consulter le rapport de l'IGÉSR : Des services universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPPS) vers des services de santé étudiante (SSE) (mars 2022)
Source : MESRI