Les mobilités résidentielles des élèves du premier et second degré

Publié le 31 mai 2021

À la rentrée 2020, 5% des écoliers et 6,4% des collégiens et lycéens ont changé de commune de résidence par rapport à la rentrée 2019.

Cette note de la DEPP montre que :

  • la mobilité résidentielle est en recul par rapport à l’année précédente, en particulier pour les élèves du premier degré ;
  • les débuts de cycle sont davantage propices aux mobilités ;
  • la mobilité est plus fréquente chez les élèves issus de milieux modestes ;
  • lorsqu’ils changent de commune de résidence, les élèves restent le plus souvent dans un rayon relativement proche de leur commune d’origine : dans plus de deux cas sur trois, l’ancienne et la nouvelle commune de résidence se situent dans le même département ;
  • tout comme l’année précédente, les mobilités résidentielles s’opèrent le plus souvent entre zones urbaines.

>> Consulter la note d'information n° 21.26 (mai 2021).

Source : DEPP