Cette note de la DEPP montre que :
- la mobilité résidentielle est en recul par rapport à l’année précédente, en particulier pour les élèves du premier degré ;
- les débuts de cycle sont davantage propices aux mobilités ;
- la mobilité est plus fréquente chez les élèves issus de milieux modestes ;
- lorsqu’ils changent de commune de résidence, les élèves restent le plus souvent dans un rayon relativement proche de leur commune d’origine : dans plus de deux cas sur trois, l’ancienne et la nouvelle commune de résidence se situent dans le même département ;
- tout comme l’année précédente, les mobilités résidentielles s’opèrent le plus souvent entre zones urbaines.
>> Consulter la note d'information n° 21.26 (mai 2021).
Source : DEPP