Face à la sous-représentation des étudiantes dans les grandes écoles scientifiques françaises, un panel de directrices et directeurs reviennent sur les causes profondes, telles que les stéréotypes de genre, les violences sexuelles et sexistes, ainsi que les freins à l’orientation vers les filières scientifiques et d’ingénierie. Les exposés et échanges mettent en avant des pistes d’action concrètes : lutter contre les stéréotypes, valoriser les compétences des femmes scientifiques et améliorer les parcours d’orientation. La discussion aborde aussi la pertinence de mesures comme les quotas ou les points bonus pour favoriser une meilleure parité dans ce type d’école.

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Source : Sénat