Selon l’enquête Génération du Céreq, un quart des jeunes Français diplômés de 2017 ont envisagé une réorientation professionnelle entre 2020 et 2023. Ce phénomène, motivé par la quête de sens, de meilleures conditions de travail ou l’attrait pour un nouveau domaine, touche particulièrement ceux en difficulté d’insertion mais concerne aussi d’autres profils. Les réorientations, souvent liées à des aspirations personnelles ou des contraintes du marché du travail, s’avèrent positives lorsqu’elles aboutissent : les jeunes concernés affichent un taux d’emploi et une satisfaction professionnelle supérieurs à ceux qui n’ont pas changé de voie ou abandonné leurs démarches.
>> Consultez :
- Réorientations précoces : un jeune sur quatre souhaite changer de métier, Céreq Bref, n° 467, Mars 2025, 4 pages.
Source : Céreq